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Naître et grandir à Amiens.
Etre le grand frère sur qui l’on fonde l’espoir de la reprise des affaires familiales,
Etre un élève doué et promis à une belle carrière,
            Mais voir autour de soi la misère et la guerre… 

                        "Ce que tu m’as donné Seigneur, que veux-tu que j’en fasse ?"

Alors…

 

à 19 ans,
il quitte ses parents, sa ville, sa famille,
et rejoint les religieux Minimes,
pour être proche des plus petits.

Mais le rêve se brise.
Le couvent de Paris fait exception :
des Frères savants y reçoivent des grands,
certains savants, d’autres  pédants.
           Tout s’effondre !


 

                      "Mon Dieu me voici accablé par l’angoisse, et poussé jusqu’au désespoir. J’emploie tout ce que

                       j’ai de Foi d’Espérance et d’Amour pour crier vers toi !... sans réponse."

 

 Puis vient le jour où Dieu relève...


Envoyé à Rouen, saisi par l’ignorance du peuple, 
le P. Nicolas Barré appelle, réunit, motive et forme ceux et celles qui veulent rendre leur dignité aux enfants exploités et aux femmes humiliées.

L’éducation et la formation des esprits et des cœurs sont pour lui une urgence.

 

 

 



Revenu à Paris, il écoute, conseille,

apaise les personnes tourmentées, 
il transmet aux éducateurs une spiritualité

qui donne sens à leur mission.
Son œuvre d’éducation populaire se répand

dans toute la France et en inspire beaucoup d’autres.
Beaucoup s’écriront en apprenant sa mort  en 1681 :


                 "Le Saint des Minimes est mort !"

 

 

 

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